Meers – Het omvangrijke drugsonderzoek naar Gino P. (45) uit Meers heeft ‘honderden onschuldige slachtoffers’ gemaakt. Dat stelt de hoofdverdachte,
Affaire pénale en cours
Le meurtre de Marcé presque inévitable
DEN BOSCH - Léon Marcé a été assassiné dans le café où il avait précédemment abattu Puk Verspeek. L'un semble être la conséquence inévitable de l'autre. Il n'a peur de personne. Intrépide sur le ring de boxe et au-delà. Mais aussi téméraire et imprévisible, surtout lorsqu'il avait consommé des "substances".
On le connaissait déjà sous le nom de Bosschenaar Leon Marcé lorsqu'il a assassiné son concitoyen Hans Verspeek en janvier 1999. Marcé, aujourd'hui âgé de 31 ans, a été abattu samedi soir dans le café 't Huukske de Den Bosch, sa ville natale. Cyniquement, c'est dans ce même café qu'il a abattu Verspeek.
Énigmes
La mort violente de Marcé n'est pas une surprise. C'est le couronnement presque inévitable du meurtre précédent à 't Huukske. Le meurtre de Verspreek, toujours appelé Puk en raison de sa petite taille et qui a récemment défrayé la chronique en tant qu'auteur présumé du quadruple meurtre d'Hilvarenbeek dont les frères Taminau ont également été victimes, est toujours resté entouré d'énigmes. Cela vaut tant pour les circonstances que pour le contexte.
Le silence
Que s'est-il passé exactement et pourquoi ? Comme samedi soir dernier, le café était "bien rempli" à ce moment-là. Par la suite, personne n'a rien vu de la lutte au cours de laquelle Verspeek a été tué de trois balles dans le dos. La police s'est heurtée à un mur de silence. L'enquête a finalement abouti à trois suspects, outre Marcé, deux autres Bosschenaren, âgés de 26 et 27 ans à l'époque, et tous trois ont été initialement condamnés, Marcé à sept ans et les deux autres suspects à six ans.
Toutefois, une grande question demeure : Verspeek, qui serait entré dans le café à la recherche de sa petite amie, a-t-il été impliqué dans une rixe plus ou moins par hasard ou a-t-il été victime d'un coup monté ?
Co-défendeur
Marcé n'a pas contredit dans un premier temps qu'au moment où il avait dépouillé Verspreek de son arme, "quelqu'un" avait crié "tirez-lui dessus". Il a par la suite nié cette affirmation. Mais les bases de la querelle avec le co-accusé, alors âgé de 27 ans, étaient ainsi jetées.
Si ce dernier, comme le second coaccusé, a été acquitté en appel, il ne pardonnera jamais la "fausse accusation" de Marcé.
Depuis, les deux hommes ont vécu en guerre l'un contre l'autre, mais, par miracle, ils ne se sont pas évités. Après la libération de Marcé, plusieurs incidents graves se sont produits, dont le point culminant a été une fusillade au cours de laquelle Marcé a reçu plusieurs balles dans les jambes.
L'ancien co-accusé dans l'affaire Verspeek a écopé d'une peine de quatre ans d'emprisonnement et a dû verser à Marcé 2 700 euros de dommages et intérêts.
Même à ce moment-là, il était certain que la querelle ne s'arrêterait pas là.
Dans les médias
avec des affaires pénales en cours
De rechtbank heeft Heerlenaar Frans C. en Pascal T. uit Landgraaf veroordeeld tot celstraffen van acht jaar, en zes jaar
Geleen/Meers/Schinnen – Politie en justitie denken een van Nederlands grootste cocaïnetransporten ooit te kunnen koppelen aan vier Limburgers. Het gaat
Vrijspraak verkrachting – Telefoongesprek tussen de verdachte en aangeefster is uitgesloten van het bewijs, omdat verbalisanten actief meeluisterden, zonder de
In het onderzoek naar de schietpartij in de nacht van 2 op 3 mei op de Markt in Hoensbroek is
Landgraaf/Born – Een miljoen xtc-pillen, 100 kilo MDMA en duizenden kilo’s cocaïne. In de zaak tegen twee grote Limburgse drugscriminelen
Hoensbroek – De politie heeft in de nacht van vrijdag op zaterdag onderzoek gedaan naar een mogelijk schietincident op de
Sittard - Il a été arrêté en mai 2020 et plus tard même condamné pour avoir planifié de cibler un rival criminel à Sittard.